Quelle est la Vraie Voiture écolo ?

Selon une étude de l’université de Californie, à Los Angeles, l’industrialisation d’une voiture électrique consomme trois à quatre fois plus d’énergie que celle d’un véhicule conventionnel. 

 

Et selon un rapport de l’Ademe, la consommation énergétique d’une voiture électrique est proche d’un véhicule diesel.

 

Alors la voiture idéale serait-elle à air comprimée ?

 

Bientôt commercialisée,

La voiture à air comprimé (invention française) :

de la société MDi : www.mdi.lu/

Véhicule sans émission de C02 ou autres résidus :

·       roule à l'air, et refait le plein d'air (comprimé) en utilisant très peu d'électricité.

·       avec un stockage d’énergie sans terres rares, et chimiquement inerte,

·       composé de beaucoup de matériaux recyclés/recyclables.

·       respectueux de l’environnement et des hommes qui y travaillent.

 
 
 
 
D'après la société MDi,
 
" les voitures électriques sont autant ou plus polluantes que les voitures diesel.
 

Terres rares :

Germanium, bore, lithium, scandium, graphite, cobalt, indium, prométhium, tungstène et autres lanthanides figurent parmi les terres rares dans le tableau périodique des éléments de Mendeleïev.

Sous ces vocables d’appellations chimiques austères réside l’avenir de nombreuses technologies de pointe et de notre «éco-mobilité».

 

Les composants des batteries et autres nouvelles technologies ont une traçabilité écologique calamiteuse :

Les véhicules électriques sont grand consommateur de terres rares (environ 10 kg dans une voiture) mais aussi certaines éoliennes qui nécessitent des super-aimants pour être productives.

La révolution énergétique et digitale, les technologies de l’information et de la communication en sont aussi friandes.

 

Au total, On en consomme 110 à 130 000 tonnes par an sur la planète et les besoins sont exponentiels, en croissance de 10 à 20% par an. Ces besoins en hausse constante, ainsi que l’accroissement du nombre de consommateurs,

a conduit à l’exploitation intensifiée de l’écorce terrestre pour lui extraire ces minerais.

 

Le problème, c’est que leur extraction et le raffinage sont des opérations extrêmement polluantes : il faut séparer les terres rares de l'uranium et du thorium, des minerais par nature radioactifs.

 

Les exploitants ont constaté le coût environnemental, social et financier de cette industrie.

Environnemental, car la pollution aux abords des sites est extrême, et extraire sans polluer coûte cher. Et social car cette activité, qui dégage de la radioactivité, commet des dégâts considérables sur les ouvriers et les populations avoisinantes.

En Chine, on parle de plus de 300 «villages-cancers» où l’on se meurt à petit feu, aux abords des sites.

 

Dans les années 90, la Chine, soucieuse de générer des entrées de capitaux pour stimuler sa croissance, et peu regardante sur son environnement a considérablement développé cette branche minière, singulièrement en Mongolie intérieure. Les coûts bas de ses salaires ont fait le reste pour dévaster les entreprises occidentales de terres rares qui ont mis la clé sous la porte, ou ont directement délocalisé leur production en Chine ou dans d’autres pays à bas coûts, moins regardants sur les normes sanitaires.

Aujourd’hui, 90 à 97 % de la production est chinoise.

 

Usine du monde et puissance géo-politique majeure, l’empire du milieu dispose du quasi monopole des terres rares sans lesquelles les industries de haute technologie, y compris les industries sensibles (armement, espace, télécommunication...) ne sont plus rien.

Sans terres rares pas d’Airbus et pas de voitures électriques.

 

Les scientifiques et les économistes se sont pendus à la sonnette d’alarme depuis au moins vingt ans, sans être entendus par les politiques.

Il est intéressant de constater le lien politique étroit entretenu avec la Corée du Nord, dont la Chine est le seul allié. C’est plus clair lorsque l’on sait que l’estimation des stocks de terres rares en Corée du nord s’élève à 216 millions de tonnes. Ce qui en fait virtuellement le premier producteur au monde.

 

Selon une étude de l’université de Californie, à Los Angeles, l’industrialisation d’une voiture électrique consomme trois à quatre fois plus d’énergie que celle d’un véhicule conventionnel.

Et selon un rapport de l’Ademe, la consommation énergétique d’une voiture électrique est proche d’un véhicule diesel.

 

On voit bien ici, que sous couvert de bonnes intentions, on nous a vendu le rêve d’un monde plus vert... chez nous mais pas chez les autres.

 

Alors il conviendrait de produire des véhicules avec des modes de stockage énergétiques sans terres rares ?

Sans batteries chimiques mais avec un stockage d’énergie chimiquement inerte ?

Respectueux de l’environnement et des hommes qui y travaillent ?

Entièrement composé de matériaux recyclables ?

C'est pour cela que la société MDi développe son concept de voiture à air comprimé. "